French version
Sneak peek of Black Harlequin
Si jamais vous demander et d'émerveillement vous trouve debout sur le bord de chaque page,
en tirant le silence de l'autre,
la hausse de la gravité qui serpente à travers,
vêtu de pluie,
comme la façon s'approfondit et devient la chut d'une
nuit caché nous ne trouvons, c'est le à partir,
autant que le confort des fins tumultueuses à travers ses lèvres et des pages de l'histoire,
Y
les mots ornent mon cœur de vous écrit dans le temps uncaressed qui passe et aspire,
comme la demeure lourds, la gravité de l'âme de vous dansromance,
la et encore se bloque ,
en commençant maintes et maintes fois
dehors
Si le ciel et les nuages se séparèrent vous avez manqué, serait-il encore l'atmosphère qui appartenait en dehors de vous et ne vous trouverez toujours le soleil dans les yeux, si le ciel était seul pour vous et moi, nous ne pouvait pas manquer si il pleuvait ces mêmes pensées, qui a éclaté quand il est nouveau comme les premières gouttes d'amour qui a rempli mon cœur et l'âme nue, la première vue de vous sépare et tombe avant que les nuages pourraient vous vêtir, je respire et c'est vrai si le ciel était toujours solitaire, il était pour vous et moi
... rosée d'un couvercle de pot distillée en cours d'exécution sur votre caresse,
un bouquet gouttes de lèvres ..."
sueur Trickling multipliés bouchons aromatiques qui ont fait la tempête et sous hurdled la brise un collier, des pigments du stock de bourgeons chargés dans un puits, faites-vient le sommeil de la drogue et cadance de communication d'un sang-froid pour continuer.
Eb chassé Emystary dans les couvertures avec la brosse de son après cinq à l'intérieur de ses cuisses, préliminaires qui a conduit Emystary en courbes de passions, regard unbreaking Eb prépara Emystary comme elle a chaviré dans les co9vers, son ventre se durcit tandis que Eb auréolé la gâchette sur ses épines decending dans les pointes de ses fesses, ce mode de plusieurs façons faite dans la prochaine heure . Emystary répondu avec des gémissements, ensuite amorti par la chaleur de leur corps, Emystary changé un peu les choses par breasting bassin de Eb, traite la dernière énergie qu'ils pourraient nu comme une paix reposant irruption dans un champagne qui va toujours avec la gastronomie.
La répartition des poils, était le chef de l'hésitation de remmberance prévu.
... Ses yeux incendiés et s'installe comme la cendre sur les roses qui ont porté autour de la taille du bout des doigts à suivre et doucement caresser les hanches devant elle
La plus douce corde de la flamme a touché ses lèvres et le retour se rendit dans la jante à travers les mots et la chaleur d'étapes brumeux,
le chalet ouvert et fenêtres apporté dans le brouillard que furtivement vers l'arrière et vers l'avant contre les murs trop loin de former l'étreinte de se faire remarquer à tous ..
instantanés inhalé le silence sur les frontières qui diminue et Blisses la peau. grisé dans assoupit,
peep la surface où se dissipe innocence trop dur de se rappeler au milieu des anneaux écrasé,
le cours ou liées heures.
Comme l'étoile la plus chaude, le soleil, perché sur le temps peu profonde-ed, c'était la chaleur de leur corps les sauvés de la rupture des frayeurs de sanctifier nuit qui détenaient alors rejoint leur épaules menton à l'épaule et le dos encore une fois, le souffle de leur épines réunion, en passant dans les coins de leurs yeux, en se cachant la séparation de veille
approchant la fin de leur temps ensemble .
Eb et Emystary étaient venus à la promesse d'un autre adieu de clôture, cette fois havre duré l'âge du feu à cendres campé à côté des deux amants et leurs pensées recueillies qui ont déferlé sur la composition non verbale
retour dans les restes de nuages tissés dissipant avec le début rayons et première ouverture des yeux de Emystary était la pensée de ... où l'air était encore encerclé et ses pensées,
drapés sur le sein de son visage, se trouvait sur ses joues le froid et les eaux de sa caresse restant, des pensées passionnées. Eb, était la poésie dans et de lui-même, qui avait était maintenant dans l'ombre de la veille.
The Sun ne se couche jamais sur la belle,
hausse après la chute des pluies de joie
C'est un beau que les cieux savent
Celui qui ne s'allume pas loin de toujours,
je pouvais écouter la nuit et trouver votre écho,
je suis perdu sur belle jusqu'à ce que je te revois,
vous détenez une nuit de toujours sans temps changeant,
le soleil ne se couche jamais sur la belle
... Il se lève dans
le Soleil ne se couche jamais sur quelque chose de beau, il ne cesse d'augmenter
Un million de jours pourraient passer nous par et pas rencontré le jour où beau se situerait
continue à augmenter sans un jour que le soleil se fixer sur quelque chose de beau,
Si le jour est devenu barron sans son étreinte,
Belle prendrait sa place,
la montée et ensemble nous auraient rencontré ces jours
Arlequin Noir livre aperçu Sneak Peek .. suite.
... aiery aveux chuchotés émergé, desserré secrets, vivants, nés de questions, déguisé en unliked, hostiles, pas plus voisins de l'intimité de l'Afar, ...
...
Coup d'oeil noir de mouchard de Prévision de livre de arlequin. À Suivre.
l'aiery un chuchote des aveux d'un émergent, un détaché des secrets, vivant, soutenus des questions, des déguisées dedans unliked, PEU amical, plus des voisins d'intimité loin, Dans Une Rapidité sans âme se précipitant et l'épave s «échappante se brisante, etait Presque juin tragédie, MAIS juin ombre Qui est restée, etait commentaire Les Mots Ont Indique Qué Les moments Dans Le Temps, étaient le jour et la fonte de de Leurs silhouettes, pierre. les moments Qui SONT VENUS unshockingly quet Emystary was soulagé par des eb invitent Recevoir Les lettres parfumées d'Emystary. La possession de Lui, sa Tonalité, sa voix, faité plus calme, les absentes des questions qu'ils n'ont Pas Parlé Il Etait la poésie de la lettre d'Emystary. Captivant, etait Les beginings, l'apogée et Renouvellement de la correspondance d'amoureux, la caresse, Qui a conduit à l'âge des jours, Venu un passe et à la nudité des mots, qui-etait la séduction
livre Arlequin Noir aperçu Sneak Peek .. suite.
... aiery aveux murmurés émergé, desserré secrets, vivants, nés de questions, déguisé en unliked, hostiles, pas plus voisins de l'intimité loin,
dans une hâte sans âme se précipiter et de s'écraser échapper épave, était presque une tragédie, mais une ombre qui restait, était de savoir comment les mots ont révélé que les moments dans le temps, a été le jour et distribution de leurs silhouettes, pierre. moments qui sont venus unshockingly
quand Emystary a été relevé par l'appel de Eb à la réception des lettres parfumées de Emystary. Posséder il, son ton, sa voix, feutrée, les questions absents qu'ils ne parlent c'était la poésie de la lettre de Emystary. Captivant, était les beginings, le point culminant et le renouvellement de la correspondance amateurs, caresse, qui a fait de l'âge de jours, venez passé et la nudité des mots, c'était la séduction
Du blog et mon écriture collection
http: / /jocelynisaninternational.blogspot.com/
mystère
vinde la cave
est plus froid
après la gastronomie
de l'argent frais est toujours
vieux,mais tourne la même chose
avec le tirage au sort
change
pile ou face
trouvés
hauts et les bas
des dépouilles de fruits mûrs
pointe de vinde doigts
empreintesne sont plusfroid
de ondulation
la têteà queue
rouge sang
encore dîner sur vieil argent
encorefilage
têtes deunede virevolter
intoxication ivrede
vin de la cave
plusfroid
d'argentbarboter suraccidentels
les déversementsde la veine desrobinet
profondesfeuillage hiver
tonneaux de vin et la presse, la pourriture dans lesdu centre
vignesrepris par de l'encre
tordre le mur
du fantôme de la cave
jusqu'au belle existe pas plus
que je n'avais jamais eu à attendre jusqu'à ce que le ciel est tombé sur moi et chaque jour je ferais face à une autre belle journée à chaque fois que nous embrassons
des ombres plus longues de la journée oublier le passage du temps et sans fin devient votre beauté, la tour de rêves alourdir les pages de souvenirs et je vois dans notre avenir que jusqu'à ce que la beauté n'existe plus, je mets les pages vers le bas comme votre beauté embrasse un murmure de tomber sur moi
si tout ce que je vois était mon ciel et l'éternité ont commencé à fondre, le ciel ne seraient pas en deçà des promesses
si ce que je croyais me portais un autre jour
Une âme qui était à bout de souffle marche encore
une fois n'était pas suffisant
était deux fois la beauté tout recommencer
si le ciel verse
tout rempli mon verre
la beauté qu'elle détient serait réparer nos ailes et nous aimerions voler à nouveau
(English version of Black Harlequin preview)
Should you ever wonder
and wonder finds you standing on the edge of each page,
pulling silence apart,
the rise of gravity winding through,
dressed in rain,
as the way deepens
and becomes the shush of a concealed night
we no longer find,
it's the beginning,
as far as the comfort of ends
rushing through lips and pages of history,
...
words adorn my heart of you written across uncaressed time
as it passes and longs,
as heavy dwells,
the gravity of the soul of you within,
and romance still hangs
beginning over and over again
Apart
If the sky parted and the clouds missed you,
would it still be the atmosphere that belonged apart of you
and would you still find the sun in my eyes,
if the sky was lonely for you and I,
we couldn't miss if it was raining those same thoughts,
that broke when it's new like the first drops of love that filled my heart
and naked soul,
the first sight of you divides and falls
before the clouds could clothe you,
I breathe
and it's true
if the sky were ever lonely
it was for you and I
it's like
"...dew from a distilled pot lid running over your caress,
a bouquet drips from the lips..."
Trickling sweat multiplied aroma caps that made the storm and hurdled beneath a collar's breeze, pigments of the stock of buds steeped in a well, made fro the sleep of a poise's drug and cadance of communication to proceed .
Eb chased Emystary into the covers with the brush of his after five on the insides of her thighs, foreplay that drove Emystary into curves of passions, Eb's unbreaking stare braced Emystary as she capsized into the co9vers, her stomach hardened while Eb haloed the trigger over her spines decending into the cusps of her buttocks, this vogue of several made way into the next hour. Emystary answered with moans, subsequently dampened by the warmth of their bodies, Emystary changed things up a bit by breasting Eb's pelvis, milking the last energy they could bare as a resting peace broke into a champagne that always goes along with fine dining. The split of hairs, was the count of the hesitation
of remmberance foreseen.
...Her eyes set afire and settled like ash
on roses that carried around his waist
with the tips of her fingers to follow and
gently caress the hips in front of her
The sweetest rope of flame touched her lips
and the return journeyed across the rim
through words and the heat of misty steps,
the open chalet and windows brought in the fog that sneaked backwards and forwards against the walls
too far away from the embrace to be noticed at all..
Snapshots inhaled the silence on the frontiers that wanes and blisses the skin. dimmed in hushes,peep
the surface where lingers. crushed innocence
too harsh to recall in the midst of rings,
the course or stemmed hours.
As the hottest star, the Sun, perched on shallow-ed time, it was the warmth of their bodies that rescued them
from the break of the frights of hallow night
that held while joined their shoulders,
chin to shoulder and back again,
the breath of their spines meeting,
passing into the corners of their eyes,
hiding the waking parting
nearing the close of their time together.
Eb and Emystary had come to the promise of another closing goodbye,this time haven lasted the age of fire to ash camped alongside the two lovers and their collected thoughts that poured into the nonverbal composition
Returning in the remnants of woven clouds dissipating with the early rays and first opening of Emystary's eyes was the thoughts of... where the air stood still and circled her thoughts,
draped down the bosom of her face, lay on her cheeks the remaining chill and waters of his caress, passionate thoughts. Eb, was poetry in and of himself, who had was now in the shadows of the previous evening.
The Sun never sets on beautiful,
Rising again after falling from the rains of joy
It's a beautiful that the heavens know
One that won't turn away from forever,
I could listen to the night and find your echo,
I'm lost out beautiful until I see you again,
You hold One night of forever without changing time,
The Sun never sets on beautiful
It rises within...
The Sun never sets on something beautiful,
it only continues to rise
A million days could pass us by
and not met the day when beautiful would lie
Continuing to rise
without a day that the sun would set on something beautiful,
If the day became barron
without it's embrace,
Beautiful would take it's place,
the rise and set
would have met us of those days
And in its passing, the promises that lay down be us, in it's beautiful, in itself, will remain
You and I
Black Harlequin book preview Sneak Peek.. cont.
...aiery whispered confessions emerged, loosened secrets, alive, born from questions, disguised in unliked, unfriendly, no longer neighbors of intimacy afar, ...
...
Coup d'oeil noir de mouchard de prévision de livre de harlequin. à suivre.
l'aiery a chuchoté des confessions a émergé, a détaché des secrets, vivant, soutenus des questions, déguisées dedans unliked, peu amical, plus des voisins d'intimité loin, dans une rapidité souless se précipitant et l'épave s'échappante se brisante, était presque une tragédie, mais une ombre qui est restée, était comment les mots ont indiqué que les moments dans le temps, étaient le jour et la fonte de leurs silhouettes, pierre. les moments qui sont venus unshockingly quand Emystary a été soulagé par des eb invitent recevoir les lettres parfumées d'Emystary. La possession de lui, sa tonalité, sa voix, faite calmer, les questions absentes qu'ils n'ont pas parlé il était la poésie de la lettre d'Emystary. Captivant, était les beginings, l'apogée et renouvellement de la correspondance d'amoureux, la caresse, qui a conduit à l'âge des jours, venu à passé et à la nudité des mots, qui était la séduction
Black Harlequin book preview Sneak Peek.. cont.
...aiery whispered confessions emerged, loosened secrets, alive, born from questions, disguised in unliked, unfriendly, no longer neighbors of intimacy afar,
in a souless haste rushing and crashing escaping wreckage, was almost a tragedy, but a shadow that remained, was how words revealed that the moments into time, was the day and cast of their silhouettes, stone. moments that came unshockingly
when Emystary was relieved by Eb's call upon receiving the scented letters from Emystary. Owning it, his tone, his voice, hushed, the absent questions that they didn't speak it was the poetry of Emystary's letter. Captivating, was the beginings, the climax and renewal of the lovers correspondence, caress, that made for the age of days, come to past and the bareness of the words, that was the seduction
From the the blog and my writing collection
http://jocelynisaninternational.blogspot.com/
Mystery
wine from the winery
is no longer cold
after fine dining
new money is still old
but spins the same
with the toss of a coin
changes
heads or tails
found
ups and downs
the spoils of ripe fruit
fine wine tip toed
footprints no longer cold
rippling
head to tail
blood red
still dining on old money
still spinning
heads a twirl
drunken intoxication from
wine from the winery
no longer cold
silver bubbled over
spills from the vein of the tap
foliage winter deep
wine barrels and press, rot in the center
vines echoed by ink
twist up the wall
of the cellar’s ghost
until beautiful exists no more
I'd never have to wait until heaven fell upon me and each day I'd face another beautiful day each time we embrace
longer shadows of the day forget the passage of time and endless becomes your beauty, the turn of dreams weigh down the pages of memories and I see into our future that until beauty exists no more, I'd lay the pages down as your beauty embraces a whisper to fall upon me
if all that I see was my heaven and eternity began to melt away, skies would not fall short of promises
if what I believed carried me another day
A soul that was breathless walks again
once was not enough
twice was beauty all over again
if heaven poured
it all filled my glass
the beauty that it holds would mend our wings and we'd fly again
“You never thought a rose could carry notes of signature lines, until you found beauty in a rose…this line was written on roses and lasts the beauty of time”- Jocelyn Shaw
Trinkets of scented roses, thoughts of silk floral bouquets and scented bouquets of roses become the keepsakes, memoirs that last the lifetime of words and beauty
Signature lines laid down on a bed of roses gift forever between the lines
Lay the rose down with signature lines
“Say it with Flowers” campaign
Imagine the capture of silk roses, accented roses the beauty of a rose, forever held in place with signature lines that last a lifetime, never withering through time
A bouquet of words, never wither
This line was written on roses and lasts the beauty of time
Signature lines from the magical garden of roses come alive just as the magic in black roses-
Say it with Flowers- Say it Forever
Pledging Beauty- Words behind the pledge- Say it with Flowers
(Rose Bush FR campaign)
إلى أن جميلة يتواجد [نو مور]
أنا أبدا اضطرّ انتظرت إلى أن سماء [فلّ] على ي وكلّ يوم أنا واجهت آخر يوم جميلة [إش تيم] نحن نعتنق
[شوووس] طويلة من اليوم ينسى الممر الوقت ولانهائيّة يصبح جمالك, الدورة الحلم يزن نزولا إلى الصفحات الذاكرات وأنا أرى داخل مستقبلنا أنّ إلى أن جمال يتواجد [نو مور], أنا كذبت الصفحات إلى أسفل بما أنّ جمالك يعتنق همس أن يسقط على ي
إن كلّ أنّ أنا أرى كان ي سماء وأبديّ بدأ أن يذوب بعيدا, سماوات لم [فلّ شورت] من وعود
إن ماذا أنا صدقت [كرّد] ي آخر يوم
[ا] روح أنّ كان عديم النفس يمشي ثانية
مرّة [ب] لم كافي
مرّتين كان جمال ثانية
إن سماء صبّ
هو كلّ يملأ زجاجي
الجمال أنّ هو يمسك صلح أجنحتنا وطار نحن ثانية
Jusqu'à la beauté existe pas plus
jusqu'à ce que beau existe pas plus
je ne devrais jamais attendre jusqu'à ce que le ciel soit tombé sur moi et chaque jour je ferais face à un autre beau jour chaque fois que nous embrassons
de plus longs shawows du jour oublions le passage du temps et le sans fin devient votre beauté, le tour des rêves pèse en bas des pages des mémoires et je vois dans notre futur que jusqu'à ce que la beauté n'existe pas plus, j'étendrais les pages vers le bas comme votre beauté embrasse un chuchotement pour tomber sur moi
si tout ce que je vois était mon ciel et éternité commençait à fondre, cieux ne ferait pas défaut aux promesses
si ce que j'ai cru que carred j'une autre âme
du jour A qui était essoufflé marche encore
n'était pas par le passé assez
était deux fois la beauté encore une fois
si le ciel la versait
tout rempli mon verre
la beauté qu'il tient réparerait nos ailes et nous volerions encore
fino a che bello non esista non di più
mai non dovrei attendere fino a che il cielo non sia caduto su me ed ogni giorno abbia affrontato un altro giorno bello ogni volta abbracciamo
gli shawows più lunghi del giorno ci dimentichiamo il passaggio di tempo e l'infinito si trasforma in nella vostra bellezza, la girata dei sogni peso giù le pagine delle memorie e vedo nel nostro futuro che fino a che la bellezza non esista non di più, porrei le pagine giù come la vostra bellezza abbraccia un bisbiglio per cadere su me
se tutto che veda fosse il miei cielo ed eternity cominciasse a fondersi, cieli non sarebbe a corto di promesse
se che cosa credessi che incatramato me un'altra anima
di giorno A che era breathless cammina ancora
non era una volta abbastanza
era due volte la bellezza ancora una volta
se il cielo la versasse
tutto riempito il mio vetro
la bellezza che tiene riparerebbe le nostre ale e che voleremmo ancora
hasta que es hermoso existo
nunca tendría que no más esperar hasta que el cielo bajó sobre mí y cada día haría frente a otro día hermoso que abrazamos cada vez
shawows más largos del día nos olvidamos el paso del tiempo y el sin fin se convierte en su belleza, la vuelta de sueños peso abajo de las páginas de memorias y veo en nuestro futuro que hasta que existe la belleza no más, pondría las páginas abajo como su belleza abraza un susurro para bajar sobre mí
si toda que veo fuera mi cielo y eternidad comenzara a derretir lejos, cielos no faltaría las promesas
si qué creí que carred yo otra alma
del día A que era sin aliento camina otra vez
no era una vez bastante
estaba dos veces la belleza de nuevo
si el cielo la vertiera
todo el llenado mi cristal
la belleza que sostiene repararía nuestras alas y volaríamos otra vez
Moment à teasure
aucun qui a companioned effort de se tenant sur intemporel trésor
supportant jour qui ont osé et les jours pourtant à manière notre voyage
beaucoup de plus année pour venir qui présentera ce jour
a accordé aujourd'hui ma manière que
je provoque au moment de vingt-quatre
ce cadeau vous porterez
parmi les mots des cartes
de lettres et plus
avant et au delà de les plus chères à moi la prise le moment pour toujours au trésor
enveloppé en jours sans fin ensemble
un anniversaire prévu pour venir
encore et défilé sans fin d'amour
de trésor intemporel
d'agin
me prisent un regard une fois de plus
incassable, vitreux, glacé, unremoved
les prismes profondément tissés
de cascades du temps embrassent
le bibelot de l'extrémité de l'arc-en-ciel
me prisent un regard sur
le mariage unpassing, comme la brume du désert et le pair des marins
dans loin, dans les bleus glacials, dans le temps a passé l'or aux voleurs seulement à verrouillé dans
le trésor dans soulagé companioned par
nos manières de voyage
sur l'avant de et au delà de le plus cher à moi
la prise le moment pour toujours au trésor
s'est enveloppée en jours sans fin ensemble une fois de plus
aucun qui a companioned effort de se tenant sur intemporel trésor
supportant jour qui ont osé et les jours pourtant à manière notre voyage
beaucoup de plus année pour venir qui présentera ce jour
a accordé aujourd'hui ma manière que
je provoque au moment de vingt-quatre
ce cadeau vous porterez
parmi les mots des cartes
de lettres et plus
avant et au delà de les plus chères à moi la prise le moment pour toujours au trésor
enveloppé en jours sans fin ensemble
un anniversaire prévu pour venir
encore et défilé sans fin d'amour
de trésor intemporel
d'agin
me prisent un regard une fois de plus
incassable, vitreux, glacé, unremoved
les prismes profondément tissés
de cascades du temps embrassent
le bibelot de l'extrémité de l'arc-en-ciel
me prisent un regard sur
le mariage unpassing, comme la brume du désert et le pair des marins
dans loin, dans les bleus glacials, dans le temps a passé l'or aux voleurs seulement à verrouillé dans
le trésor dans soulagé companioned par
nos manières de voyage
sur l'avant de et au delà de le plus cher à moi
la prise le moment pour toujours au trésor
s'est enveloppée en jours sans fin ensemble une fois de plus
THE EARLIER EPISODES
English Version
The eve of solitude on a day's mouth was broken with the embrace of the two lovers. the hours that molded a kept, contained the lover making of bodies close to the wall's portrait, a love scene. The scene thirsted on lips, skin and tantrums that doused fire with the sweat, heat , of twisted bodies. Emystary's long, flowing caresses pampered Ebony, glazing his immaculate, hard chiseled frame that directed the soon to be stained windows of the darkened room, before the break of light that was creeping into morning eyes and consciousness on a wet dream's escapade. A chocolate diamond appeared in the palm of his hand, that when placed around Emystary's neck, echoed his charming seduction.
Impatiently waiting her breath, Ebony admired back, the art in front of him, Emystary now became the ceiling crafted by Michelangelo, the Sistine chapel, stroke in a nook of remembrances that Eb could compare to in his travels when he chose to tour his thoughts while they parted, thoughts that ran secretly with the day, admiration of creation, and love he booked in his next bouquet that preceded the warmth of their touch. It was in the last hour of their togetherness that Eb made promises that their journeys would always bare in the stains of her eyes, eternal forget-me-nots
The seduction continued as Emystary removed her henna art kit and body paints from the sleeve of a room's bureau of drawers that lay close to her bedside. Emystary dipped her brush in body inks to create the most beautiful design of jade and gold down the shoulder and rib of Eb's dark skin leaving an Iridescence glow of the moment and a kiss of the diamond that shimmered in the light breaking through the stain of the windows. If ever a love scenes ending could leave keepsakes, this morning's caption would stagger into the next chapter's lines.
Black Sun
Chapter Preview
Closing the villa’s walls, the stairwell winded, candlelight hid the spaces of time, growing closer on the lines of the opening chapter, across the chaise, stretch into a deep lush and luxurious snow, melting in time with the flicker of light.
Candles crackled like pecan halves, leaving the hips of roses on a mustard fur and orient slip of tea leaves, like a moss from the prior evening grew the sights after keys played the lock of the entrance.
Emystary entered her room after seeing Eb off. The remaining card that Eb had left, be it that he was a thief of creativity, was the private escort to the late waters and starry rain, as Emystary made for the orchid of the night sitting in a small canal boat below a handsome gentleman’s wade to the restaurant for diner and wine before her trip back home, the last flight which was a perfects nights serenade of thoughts rushing back over like a hangover, a celebration that built the foreplay of fireworks. the card in the flowers on the table read: a note from Eb,
"getting to know you has been like putting the stones in the diamond you’re wearing this evening, with every setting of a stone, the cobblestone of our paths have stretched the miles and grown our garden of black roses that have become the glow of our relationship-
See you soon”
Eb Alone
It was the romance of the black sheers meeting the black curtains in the room that created an eclipse of the sun, sparrowing through onto Eb’s body, now that he was home again lying in his over-sized bed, Eb was still wearing the craft down his frame of Emystary, a jewel that matched his gift that had closed his departure and played with the seduction that long goodbyes sing only to make hungry the pits of the stomach and pains when the dosage dips low. The same effect that made perfect the gift, the chocolate diamond, the same effect that was his dopamine and shadow of the kisses that now wrapped his body like candy wrappers
or linens that reminded him that
or linens that reminded him that
Emystary thought him to be a tightly wound flower that bloomed as the black rose and made the both of them glow in their own light every time they held one another.
Eb gathered his silk pajama wrap that clung to the origin of his hips, dressing the shadow that walked the floor, Eb was alone in his home, that was the prelude to breakfast and his call to Emystary.
Disk Jockey
Chapter preview
insert for Black Harlequin
"...dew from a distilled pot lid running over your caress, a bouquet drips from the lips..."
Trickling sweat multiplied aroma caps that made the storm and hurdled beneath a collar's breeze, pigments of the stock of buds steeped in a well, made fro the sleep of a poise's drug and cadance of communication to proceed .
Eb chased Emystary into the covers with the brush of his after five on the insides of her thighs, foreplay that drove Emystary into curves of passions, Eb's unbreaking stare braced Emystary as she capsized into the co9vers, her stomach hardened while Eb haloed the trigger over her spines decending into the cusps of her buttocks, this vogue of several made way into the next hour. Emystary answered with moans, subsequently dampened by the warmth of their bodies, Emystary changed things up a bit by breasting Eb's pelvis, milking the last energy they could bare as a resting peace broke into a champagne that always goes along with fine dining. The split of hairs, was the count of the hesitation of remmberance foreseen.
Chapter Preview
It was the break of there encounters when Emystary decided to write Eb a letter of her thoughts..
After the hail pressed on the door, I woke up this morning and ran my fingers through my hair trying to lock in a litte longer, to catch the emothions, thoughts of you along with the smell of your skin when we make love, only you wasn't there, so I placed my hand on my hip to stop the hangover, still shaking. Realizing that I was still in the storm, it was an empty day's beginnings on wanting to wake up with the same smell in your arms, the blush of the sunrise made way for the rays of you, deep into the shower, soft as the cumulus, hands of flesh dipped backward into the storm wound up around us, only to sober what became the realization as the cashmere that I was still wearing and it was the covers that warmed the child of frozen hours, that still remained into this morning after hearing your last presence. Missing you, signed Emystary
Moments to teasure
none whom has companioned the endeavor of holding onto timeless treasure
enduring the days that have ventured and the days yet to way our travels
many of more years to come that will present this day
bestowed today my way
I bring about the moment of twenty four
this gift you'll carry
amidst the words of letters
cards and more
afore and beyond dearest one to me hold the moment forever to treasure
wrapped in endless days together
an anniversary foreseen to come
again and agin timeless treasure
endless love
Parade
treasure me a glance once more
unbreakable, glassy, glossy, unremoved
deeply woven cascades
prisms of time's embrace
trinket of the rainbow's end
treasure me a glance at the
unpassing marriage, like desert's haze and sailors' peer
into afar, into icy blues, into time passed gold to raiders only to locked within
treasure within comforted companioned through
our ways of travel
afore and beyond dearest one to me
hold the moment forever to treasure
wrapped in endless days together once more
French versions
Cashmere Excerpt from Black Harlequin
Prévision de chapitre
c'était la coupure là de la rencontre quand Emystary a décidé d'écrire à eb une lettre de ses pensées.
Après que la grêle ait serré sur la porte, j'ai réveillé ce matin et ai couru mes doigts par mes cheveux essayant de fermer à clef dans un litte plus longtemps, pour attraper les emothions, pensées de toi avec l'odeur de votre peau quand nous faisons l'amour, seulement vous n'étiez pas là, ainsi j'ai placé ma main sur ma hanche pour arrêter la gueule de bois, secousse de distillateur. Se rendant compte que j'étais toujours dans le donner l'assaut à, c'était les commencements d'un jour vide sur vouloir se réveiller avec la même odeur dans des vos bras, le rougissement du lever de soleil transformé manière pour les rayons de toi, profonds en la douche, molle comme cumulus, mains de chair plongées vers l'arrière dans le donner l'assaut à enroulé vers le haut autour de nous, seulement à sobre ce qui est devenu la réalisation comme cachemire que je portais toujours et il était les couvertures qui ont chauffé l'enfant des heures gelées, qui demeuraient toujours dans ce matin après avoir entendu votre dernière présence. S'ennuyer de toi, Emystary signé
Every beginning should be as special as the life of the relationship.
Every brand has its impression from the beginning.
Every word is signature.
With our Signature brand, Say more than words.
Signature lines, signature paper.
Say it with flowers.
Say More, From the Beginning.
Our cards and design, Say More.
“You never thought a rose could carry notes of signature lines, until you found beauty in a rose…this line was written on roses and lasts the beauty of time”- Jocelyn Shaw
http://youtu.be/g9tJcP0x6lM
Trinkets of scented roses, thoughts of silk floral bouquets and scented bouquets of roses become the keepsakes, memoirs that last the lifetime of words and beauty
Signature lines laid down on a bed of roses gift forever between the lines
Lay the rose down with signature lines
“Say it with Flowers” campaign
Imagine the capture of silk roses, accented roses the beauty of a rose, forever held in place with signature lines that last a lifetime, never withering through time
A bouquet of words, never wither
This line was written on roses and lasts the beauty of time
Signature lines from the magical garden of roses come alive just as the magic in black roses-
Say it with Flowers- Say it Forever
Pledging Beauty- Words behind the pledge- Say it with Flowers
(Rose Bush FR campaign)
http://youtu.be/g9tJcP0x6lM
Trinkets of scented roses, thoughts of silk floral bouquets and scented bouquets of roses become the keepsakes, memoirs that last the lifetime of words and beauty
Signature lines laid down on a bed of roses gift forever between the lines
Lay the rose down with signature lines
“Say it with Flowers” campaign
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A bouquet of words, never wither
This line was written on roses and lasts the beauty of time
Signature lines from the magical garden of roses come alive just as the magic in black roses-
Say it with Flowers- Say it Forever
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(Rose Bush FR campaign)
Say it Now-eGallery, eDigital Expressions.
Your design by request. Coming Soon! Look for our website post.
Check Out Poetry Super Highway
Poetry Super Highway ( http://PoetrySuperHighway.
Say It With Flowers/Jocelyn Shaw & Rose Bush Campaign "Say it With Flowers!" on Flowers Our Exclusive Rose Paper & Poet's Corner Undressed, (Independent Label)
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Dr. Sheila Jocelyn Shaw
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Dr. Sheila Jocelyn Shaw
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